Hum ... j'ai besoin de vos avis là (ouai je rattrape mes 3 semaines sans articles).
Attention, racontage de life (intime qui plus est alors pas de commentaires déplacés svp)!
Parmi les 5 filles que compte ma famille (heureux mon père qui se trouve au milieu de toute cette tribue ^^'), je suis "le seul" à devoir prendre la pilule.
La vie n'est-elle pas ironique parfois??
La raison en bref : je "souffre" de dystrophie ovarienne ou de syndrome des ovaires polykystiques. Rien de bien méchant en soit, il parait juste que ça provoque quelques changements sur l'organisme:- obésité plus ou moins importante
- stérilité
- hirsutisme (!!)
- hyperandrogénie (!!!)
- de l'acné
- une perturbation des règles.
Et c'est là que je m'interroge:
J'ai arrêté de prendre la pilule depuis plusieurs mois (me saoule de prendre ce machin, en plus celle qui m'est prescrite n'est pas remboursée et chère) ... les résultats ne se sont pas fait attendre très longtemps : j'ai du poil sur le bidou, et un fin duvet sur le visage qui se voit de plus en plus (ce qui n'est pas pour me déplaire!). A celà s'ajoute apparemment une production de testo à la place d'oestro' (pour faire simple). Et malheureusement quelques boutons viennent un peu gacher le tableau, mais qu'importe!
Et c'est là que le gros doute s'insinue en moi : celà fait un bon moment maintenant que je ne me sens pas fille, que je m'interroge sur les questions de genre et d'identité, ... Et ce sentiment n'a pas arrêté de se renforcer au fil du temps au point d'en être arrivé à la conclusion : je ne suis pas une fille, je suis transgenre.
MAIS SERAIT-CE DÛ A CE FOUTU SYNDOME??
Est-ce que si je reprends la pilule, celà me reféminisera le corps (ça oui) et l'esprit? Est-ce que je vais de nouveau me sentir comme la norme le veut à savoir : une fille, dans le corps d'une fille, avec un sexe de fille?
Et je peux vous dire que si c'était le cas, ça me boufferait littéralement. Pas de me dire que je serai fille blablabla ... mais de me dire que je suis dépendant d'une petite pilule chimique. Que ça n'est pas moi MOI qui me vivrait comme je le sens, mais bel et bien un mélange d'hormone synthétique.
En gros : je n'aurai plus mon mot à dire. Les médecins considèrent que des ovaires qui "produisent" des hormones mâles ça n'est pas normal, donc hop on avale la p'tite boule rose et on est contente.
Vous me direz : rien ne t'empêche de continuer à ne pas prendre la pilule (si ce n'est ma mère qui flippe à mort ^^). Mais j'avoue que dans ce cas, ce questionnement restera à moins d'une âme éclairée sur le sujet.
Autre question: peut-on demander au gynéco de faire un dosage hormonal comme ça, juste sur demande?
Si je dis à mon gynéco : écoute mon vieux, je ne veux pas de ta pillule, elle me saoule et je n'ai pas besoin de contraception (je suis lesbien, je n'ai pas encore été attiré jusqu'ici par les hommes); est-ce qu'il risque de dire quelque chose?
en conclusion: je vous avouerai que ce sujet me perturbe quelques peu ces derniers temps donc j'aimerai en parler un p'tit peu :$
Hop hop hop, j'm'incruste un coup![Mode lurker, on]
RépondreSupprimerOuh là, que d'interrogations à c'que j'vois, ça se bouscule là dedans (Bah, vaut mieux que ça bouge plutôt que ça reste mou!).
Je vais te faire part de ma petite expérience personnelle de rien du tout, mais ça peut ptetre te rassurer. Bon, je n'ai jamais pris la pilule, par contre j'ai commencé à prendre du Lutéran (Ooh, la ptite pilule miracle dont on parle beauucoup...ou pas). Le Lutéran, c'est aussi des hormones féminines, et j'ai beau prendre un ptit comprimé tous les matins...ben mon ressenti n'a point changé. Je me sens toujours en désaccord complet avec mon corps, toujours pas dans la norme voire encore plus déterminé à franchir un pas ou deux côté trans. Donc a priori, les hormones font des joujoux avec mon corps (bizarres, les joujoux, d'ailleurs, pour le moment), mais pas encore avec ma tête! Enfin, si je commence à vouloir faire les soldes chez Jennifer ou me faire permanenter mes 3cm de cheveux, je te préviendrai!
Ensuite, pour parler plus "logique", il y a tout un tas de monde qui souffre du syndrôme des OPK: des FTM, des FTX, des...euh, autres, ...et puis aussi des tas de femmes qui ne se sont jamais posées la question de savoir si elles se sentaient vraiment femme à l'intérieur! Et d'un autre côté, tous les gens qui se posent de drôles de questions sur leurs genre ne souffrent pas tous & toutes de dérèglements hormonaux... Euh...voilà que j'essaie de faire des preuves par le contraire...j'espère ne pas m'être trop embrouillé...
Tout ça pour dire que je ne pense pas que la pilule en elle-même puisse changer grand chose...
J'y connais pas grand chose en matière d'OPK, mais la pilule est la seule alternative? Quant à un gynéco...ces gens là m'font peur, j'avoue que j'ai jamais été... Un dosage "personnel", ça parait quand même un peu difficile, nan? (sans vouloir te vexer, einh '^^), ça voudrait dire: "Un cacheton précis pour chaque personne"? ça m'parait dur...
Courage Shadow!Pour en parler aux parents, c'po facile, moi aussi j'attends qu'ils fassent le premier pas...tout en sachant qu'ils ne le feront jamais. Pourtant ma chambre est placardée de flyers de l'Existrans, de dessins et de photos qui n'ont même pas besoin d'explication!(Et ma mère passe régulièrement dans mon antre) Donc je me suis donné un ultimatum: si en juin prochain[ben oui, chuis quand même un gros lâche, dans le fond, c'est dans hyper longtemps], je n'ai toujours pas eu de corde lancée, c'est moi qui frappe.
Je sais pas si je t'aurai éclairé, au final. Mais j'aurai eu l'occasion de bla blater sur ton blog. En attendant, continue-le, j'aime bien m'y promener de temps en temps.
Ah, oui, pour terminer, j'aime vraiment la photo que t'as mis là: http://butchyboi.blogspot.com/2009/06/schiedam.html
A bientôt et bon courage!
- Lox - (et Kangourex le Kangourou), from Canada
[Mode lurker, off]
Vindiou, toi quand tu pars, tu pars avec tout ce que t'as à dire et apres tu fais comme La Poste (Belzébuth ait ses guichetiéres), tu rebalance tout d'un coup au retour! bref
RépondreSupprimerComme ça n'a pas l'air d'être la grande forme et qu'apres tout je suis en forme j'ai envie de causer, alors causons ^^ un p'tit peu ou pas hein.
Je pense (ça m'arrive) bien que ce ne soit qu'un avis personnel que ton questionnement est plus que normal et qu'il fait partie des plus chiant du transgendrisme. Je précise qu'il peut prendre plusieurs forme et puisqu'on parle di situation personelle je vais mettre la mienne parce qu'apres tout, on cause (devant des milliard d'internaute mais bon ça les occupe.) J'ai cru pendant un temps que ma transidentité était dû au fait que ma mére a transmis à travers moi ( et de ma gueule accesoirement) toute sa haine de la gent masculine et surtout de ses représentants, et d'ailleurs si je dois en parler à un psy' d'équipe off, il me sucrera une bonne année de plus pour vérifier que ça ne vient pas de là XD bref ce que je veux dire c'est que je pense que tu cherche une raison tout à fait indépendante de ta volonté, et j'avouerais avoir déjà ressentis le terrible sentiment que tu évoque qunt au fait que cela puisse être dû à cette chére petite pillule. Mais en même temps, je me demande ce que ça pourrait faire . Je m'exprime peut être mal mais, dans quel genre, ou du moins situation te sens-tu le mieux? Si tu as déjà été une fille tu auras matière de comparaison, enfin je veux dire essais d'analyser doucement ta vie, pas forcément en fouillant pour trouver les détails qui indiquerait une transidentité ou autre joyeuseté du genre mais juste pour analyser un peu ce qui est déjà passé et ce que tu prévois histoire voir comment tu ressens la chose, ça risque de faire mal mais apres tout c'est peut être le mieux à faire, apres je suis pas une pro' ^^
[seconde partie car blogspot, Mephisto lui mange l'orteil, ne veut pas de com' au dessus de 4006 caractére (enfin si je e souviens bien.)]
RépondreSupprimerEn même temps tu dis "Que ça n'est pas moi MOI qui me vivrait comme je le sens, mais bel et bien un mélange d'hormone synthétique.", mais dans un même temps, si ces hormones n'avaient jamais été là, tu en serais au même point vu que ton syndrome ce serait dévellopé "naturellement" si j'ose dire et au final on en serait revenus au même point que lorsque tu ne prend pas la petite pillule ( pas bleue celle-la.). Et puis, t'es-tu un jour dis "Je suis une fille" en le ressentant au même point que ce que tu ressens actuellement? Je demande cela parce que dans mon cas, je sais que plus jeune, je n'étais un garçon que par le sexe et dans ma tête je ne me déclarais de rien, j'avais dû faire sauter la barrière des genres ou un truc du genre XD Pour avoir réponse à tes questionnements une petite introspection serait peut être judicieuse.
J'ajouterais en prime qu'il n'y a aucune étude sérieuse qui dit que les hormones sexuelles influent sur le comportement d'un sujet, du moins au point qu'il change sa perception de lui voir de caractére, et de toute manière le "résultat" des hormones sur chacun dépend grandement du chacun lui même, bien qu'on trouve des témoignages (enfin j'ai surtout vu avec des MtF) qui disent le contraire mais là encore, je reste dubitative car à force de comparaison, je m'aperçois que c'est tres variable d'une personne à l'autre ( de toute manière, je n'ai jamais pu blairer ce genre d'idée reçut sur les sexes.) Donc j'ai des doutes que cela re-féminise ton esprit ( et les poils sur la gueule ça partira pas, enfin pas trop ), apres je ne suis pas toubib, ça ne restera qu'un rêve de gosse, donc je me gourre peut être. Influer sur l'esprit doit,je pense, passer par autre chose que des hormones ou des traitement approchant à moins que ça foute un réel coup et que chaque pastille soit de la bombe en pillule. Tu en as déjà parlé à un toubib? je sais que c'est tres intime mais peut être que cela t'aiderait à clarifier ton p'tit esprit un peu sans dessus-dessous, explique ce que tu crainds etc...Si tu dois e faire essaie d'en chopper un ouvert d'esprit, ce serait con qu'il use de ça pour te faire passer pour une bête bizzare ( Vive la médecine \o/.).
Pour le gynéco, t'as qu'à y aller au culot hein, on sait jamais XD
Bon bref j'ai dû déballer plein de connerie innomable mais j'espére qu'elles vont t'aider un peu ou quoi que ce soit ^^
Prend quand même soin de toi et à la r'voyure
(Fais comme si t'avais reçus ça hier soir parce que j'ai eu un probléme pour poster..bon ok on s'en fout en fait, l'important et que ça y soit ^^)
Lut'. Bon, j'essaie de digérer ton pavé en écrivant, hein (mon côté "fille" : faire deux trucs en même temps ;).
RépondreSupprimerBah en fait j'aurais plutôt tendance à penser qu'il vaudrait mieux ne pas trop savoir d'où "ça" vient. 'fin je prends ton questionnement sous l'angle de la causalité. Disons que je crois qu'essayer de répondre à cette question peut être dangereux. D'une part, si on dit que ce que nous sommes est strictement déterminé par la biologie (la sécrétion d'hormones et tout le boxon), c'est un moyen de se déresponsabiliser, et il me semble que ça peut être très dangereux cf la prise en charge médicale et la psychiatrisation. Parce que les gens pas très sympas en face ils tiendront des discours du genre : regardez-les, ces pauvres ! Leur corps fonctionnent à l'envers et du coup ils sont chancelants du cibouleau. Vite vite vite, soignons-les, voyons comment le corps réagit à différents dosages etc. Dans ce cas, on ne serait non plus des malades mentaux, mais des malades "physiques" (dsl, j'suis littéraire, moi ; pas scientifique). Donc, en plus d'être montrés comme des bêtes de foire à qui les lobbies médical et pharmaceutique injecteraient des hormones comme les lardons braillards lancent des cacaouètes, ont pourrait dire adieu à toute crédibilité. On ne serait pas "sains" de corps, et donc, pas d'esprit non plus. Avec un pareil statut, allons donc revendiquer la dépsychiatrisation, allons donc militer pour des droits... On nous répondrait : "Ben, vous êtres "vraiment" malades, maintenant on le sait, votre corps ne fonctionne pas comme celui de la majorité, Nous on va vous aider, parce que Nous on connait tout ça". Après, ce n'est que ma posture...
Mais objectivement je ne pense pas que la bio explique tout (non seulement je suis littéraire, mais en plus j'éprouve une véritable aversion pour TOUT ce qui est scientifique ; ) ; ce serait nier l'influence de la culture, de la socialisation, des normes, des jeux de pouvoirs etc. Donc non, je ne pense pas que gober à nouveau ces smarties ou non te "transforme" à loisir en princesse ou en bûcheron. Sinon, on n'aurait pas autant de problèmes à faire bouger les choses. On ne serait pas des hommes, mais des animaux, et on irait toutes griffes dehors, niqu** la gu**** à ces c******* de politicards, de curés et de médecins. La loi de la jungle, quoi.
EUh... et pour finir, de quoi tu parles quand tu dis "dosage hormonal juste comme ça" ? genre de la T ? Dans ce cas c'est pas le gynéco ; c'est l'endoc. Et vu que les deux sont des spé à part, je ne pense pas que le premier ait la liberté de prescrire ce qui est du ressort du second... Mais je ne sais pas, hein, tu connais ce milieu mieux que moi...
Euh... J'espère avoir été compréhensible et pas trop synthétique ne pas être parti trop en free style... Désolé sinon !
Tiens, moi aussi j'ai question : pourquoi, mais pourquoi aller chez le gynéco ??? J'y ai jamais mis les pieds, je mens à mon généraliste depuis bien 6 ans à ce sujet, j'ai très certainement des ovaires polykistiques vu que j'en partage les symptômes et... Ben je me porte comme un charme et personne ne me fait chier ! Si j'y vais un jour, ce sera surement à cause d'un gros problème, ce sera même sans doute trop tard, mais tant pis. Pas envie de m'entendre demander si je veux des enfants, et patati et patata. Je pense que je l'étriperai, le gus...
PS : dsl pour le paté, hein, et le hs aussi !
Donc je voulais vous remercier mes deux cherEs commentateurs/trices habituelLLEs ainsi que Lox (heureuse surprise ^^) pour vos réponses!!
RépondreSupprimerAlors je voudrai rassurer tout le monde (oui oui je vous sens ultra paniquéEs pour ma petite personne :D) : je vais très bien en ce moment contrairement à ce que peuvent faire croire mes écrits.
Je pense juste beaucoup beaucoup à ma transition en ce moment (et être chez mes parents n'aide pas à penser à autre chose huhu). Et cette question des hormones ect ... me taraude depuis un bon moment.
Lox : Ton raisonnement par le contraire me rassure. Tu as raison sur ce point, après tout, les FtM ont bien de l'œstrogène à la base!
Et concernant ta chambre, si la mienne était pareille elle m'aurait sauté sur le dos pour m'interroger ^^ Rien qu'un simple pseudo (un slogan de l'Existrans) l'avait fait tiquer ... mais j'en reparlerai dans un article de ma connerie monumentale de pas avoir sauté sur l'occaz ce jour là >_<'
Loza : Euh ... mon médecin généraliste est ... spécial ^^' Je n'oserai jamais lui parler de ça. Et puis je n'oserai jamais en parler à un quelconque généraliste je crois. Je n'ai rien contre eux mais je ne vois pas trop ce qu'ils pourraient faire. Et même si je fais parti du milieu médical, je me méfie des médecins ;-)
Quant à l'introspection, c'est pas une mauvaise idée, sachant que je suis déja passé par là mais que de cette manière, je vois mon évolution.
Mais je ne cherche en aucun cas une "raison" à mon transgendérisme. Je suis loin d'avoir un esprit pragmatique et scientifique et c'est justement le fait d'avoir pu en trouver une hypothétique (de raison) qui me faisait peur je pense. Surtout si celle-ci était biologique. Ca sous-entendrait une "maladie" et désolé, mais je ne me sens absolument pas malade =)
Mjo: Bah tu as tout simplement résumé (de manière brillante!) ce que je ressens. Et comme dit plus haut, ma grosse crainte avec cet article était de trouver une hypothétique cause à mon transgendérisme ... ce qui engendrerait tout ce que tu as pu citer dans ton post!
Pour le gynéco, UNE visite chez lui me semble nécessaire histoire de s'assurer qu'il n'y a pas de cancer ou autre saloperie du genre à la base. Et puis voir sa tête quand tu lui sors : "je suis lesbienNE" vaut la consultation ^^
Et pour finir : concernant le dosage hormonal, j'ai eu ma réponse car quelqu'un du forum vert se trouve dans le même cas. Il a eu son rendez-vous avec l'endoc' (car bien sur c'est lui qu'il faut voir pour ça, tu as raison Mjo) via son gynéco. Car, comme il me semblait, vu que c'est une spécialité, tu ne peux pas aller le voir directement il faut une prescription (sauf si ça te dérange pas de ne pas te faire rembourser la consult').
Bon bah je sais ce qu'il me reste à faire ... Rdv chez le gynéco à la rentrée >_<
Hello je m'incruste sur ton blog, juste pour te dire que ça fait un an que mes petites pillules bloquent ma secretion de T et me refoutent une dose d'oestrogene mais je me sens pas plus fille qu'avant, voire encore moins donc euh...donc dis juste à ton gényco "hey j'aime les femmes, je risque pas de tomber enceinte, j'ai pas besoin d'une pillule chiante à prendre pour ça donc siouplait tu peux pas me trouver autre chose ou m'envoyer chez un endoc pour redoser tout ça" sur ce tu lui fait un grand sourire et s'il le prend mal tu lui dit que c'est un con (ou une conne ou autre)
RépondreSupprimerBelial (qui tape l'incruste)
Héhé merci encore Belial pour les infos.
RépondreSupprimerMais ce que je compte faire c'est aller le voir, prendre rdv chez l'endoc', voir mon dosage de testo et basta.
C'est plus de la simple curiosité et je compte pas y remédier particulièrement car de mémoire, la plus grosse conséquence d'un SOPK c'est la stérilité. Et ne souhaitant pas d'enfants, ça n'est pas un soucis.
Enfin j'en parlerai avec lui. Je ne traiteai le SOPK que s'il y a un quelconque risque réel pour ma santé.
Sinon je resterai avec mes poils qui poussent =)
Hello.
RépondreSupprimerJe ne te connais pas, tu ne me connais pas mais passons.
Le hasard a voulu que je tombe sur cette page et cet article qui m'ont valu des mois et des mois de réflexion, de remise en question et j'en passe.
J'en suis venu à la réflexion que prendre la pilule pour avoir les bonne tites hormones du politiquement correct ne rimait à rien.
Mon corps est ce qu'il est, avec ce syndrome ok, mais je le laisse faire. Après tout avant qu'on me le diagnostique (facile) et avant d'avoir les mentrues (argh!) j'étais déjà tel que j'étais, donc ça n'avait pas d'importance.
Le côté positif, que tu as peut-être la chance d'avoir, c'est d'être emmerdé avec ces fuites rouges une à deux fois par an au lieu des 28 jours réglementaires.
Bref, je ne sais pas si mon expérience perso t'apportera quelque chose mais je tenais à t'en faire part, troublé par tant de similitudes avec moi il n'y a pas si longtemps.